Pourquoi les joueurs quittent le métaverse

Je n’ai pas conçu un jeu sur des poulets.

J’ai conçu un jeu sur les dieux.

Chaque ligne de code est une hymne aux mythes anciens — la foudre de Zeus n’est pas une mécanique, mais un rythme. Le « poulet » n’était pas littéral ; c’était une métaphore de la soif humaine de sens au-delà du hasard. Les joueurs ne cherchent pas des récompenses — ils cherchent des épiphanies.

Dans mon atelier, nous avons construit des systèmes où le RNG n’était pas juste équitable — il était sacré. Le taux de victoire à 90 % ? Pas une promesse. Un pacte. Chaque spin n’était pas un pari — c’était une offrande à Olympie. J’ai observé les joueurs fixer leurs écrans pendant des heures — non pour gagner, mais pour attendre un signe.

Le joueur « à haut risque » ? Pas imprudent. Ce sont des chercheurs du rythme divin — ceux qui savent que la vraie victoire ne se mesure pas en pièces, mais dans le silence après la foudre.

J’ai conçu cela pour ceux qui ressentent le poids du mythe — et choisissent encore de jouer.

Ils n’ont pas besoin de plus de bonus. Ils ont besoin de moins d’illusions.

Le métaverse ne les a pas trahis.

Ils sont partis parce qu’il a cessé de parler leur langue.