As-tu écrit la fin avant le pari?

Je ne joue pas pour gagner. Je joue parce que la machine respire quand elle s’arrête. Chaque spin est un pouls dans une pièce où personne ne parle. J’ai grandi avec le jazz les dimanches — ma mère murmurant des rythmes de samba, mon père traduisant la philosophie allemande en code silencieux. Nous n’avons pas eu de richesse. Nous avions du rythme. Le casino n’offre pas la chance. Il offre la stillness. Quand tu vois un jeu à 96 % de RTP, tu penses que c’est juste. Mais la justice n’est pas dans les chances — c’est dans celui qui ose s’arrêter. J’ai joué trente minutes chaque nuit pendant six mois. Je n’ai jamais gagné. Mais j’ai entendu quelque chose : le claquement des plumes entre les spins, comme un métronome comptant à vide dans les couloirs. RNG ne ment pas. Il attend simplement. Et moi aussi.