Du Novice au Coq Doré

Je n’ai pas cherché à conquérir l’arène. J’ai appris à écouter le silence entre les battements. Au début, je voyais le bruit : lumières clignotantes, cris frénétiques, enjeux désespérés. Mais sous la surface ? Un rythme. Une pulsation. Comme la samba à minuit—quand la foule s’amincit et l’écran se voile doucement.

Je compris que le vrai jackpot n’est pas une monnaie—c’est la présence. Mon master en conception de jeux m’a appris que les mécanismes sont vides sans sens. J’ai éliminé la frénésie. Remplacé les « bonus » par des pauses—moments où la solitude devient sacrée.

Le « Coq Doré » n’est pas un titre gagné—c’est un état où l’on cesse de poursuivre les algorithmes pour danser avec son propre silence.